Amoureux de la Belgique et de Bruxelles

L’intérêt pour la politique me vient très tôt. Dès 1993, je participe à ma toute première manifestation pour l’unité du pays. De nombreux combats me passionnent, raison pour laquelle je m’investis dans de nombreuses associations patriotiques. Pour mes études supérieures, je choisis l’ULB comme une évidence. Je rejoins très tôt le cercle des étudiants libéraux dont je deviens le Président. Ce sont les prémices de mon engagement politique.

Lors d’une conférence que j’organise au sein de l’université, une conseillère communale de la Ville de Bruxelles me propose de me présenter sur les listes électorales libérales pour les futures élections communales. Pourquoi pas, j’ai 21 ans.

Pendant deux ans, entre 1998 et 2000, j’assiste à la plupart des conseils communaux. C’est le déclic. Je me rends compte que beaucoup de décisions et d’actions concrètes se prennent au niveau communal et cela me donne envie d’aller plus loin. Je suis encore étudiant quand François-Xavier de Donnea me donne l’occasion de me présenter sur les listes communales en 2000, comme le plus jeune candidat libéral.

Après une campagne pleine d’énergie, je réalise le 11ème meilleur score de la liste. C’est ainsi que je serais élu plus jeune conseiller communal à la Ville de Bruxelles, à 23 ans à peine. Très vite je m’implique dans les matières dites « urbaines » telles que l’architecture, l’urbanisme, le patrimoine, l’aménagement du territoire, la sécurité, les matières culturelles ainsi que les matières liées à la mobilité.

Je ne serai pas un conseiller communal silencieux. J’interpelle beaucoup, en allant sur le terrain et dans diverses associations.

En 2006, nouvelle élection et malheureusement à nouveau dans l’opposition malgré un quasi-doublement de mon score électoral.

En 2009, pour la première fois, je suis candidat aux élections régionales où je ferai un score très honorable de près de 3000 voix, soit plus que la moitié des députés bruxellois de l’époque. Néanmoins, le système d’effet dévolutif de la case de tête m’empêchera de devenir député.

Trois ans plus tard, lors des élections communales de 2012, c’est avec une joie immense que je suis nommé échevin de l’Urbanisme et du Patrimoine, en charge de la Centrale d’achats à la Ville de Bruxelles. Des compétences que je connais et que je chéris particulièrement. Depuis décembre 2018, malgré près de 1600 voix de préférence, j’ai retrouvé les bancs de l’opposition mais continue de m’investir au quotidien pour Bruxelles et ses habitants.

En 2014, seconde tentative pour les élections régionales. Et malgré plus de voix de 3100 voix, soit plus que 2/3 des députés bruxellois, je suis à nouveau un candidat malheureux, une seconde fois dû à l’effet dévolutif de la case de tête.

Fin 2018, malgré près de 1600 voix de préférence lors des élections communales, c’est avec regrets que je retrouve les bancs de l’opposition mais continue de m’investir au quotidien au sein Conseil communal pour Bruxelles et ses habitants.

En 2019, je suis candidat pour la 3ème fois lors des élections régionales. Fort de 3260 voix de préférence, je deviens député au Parlement Bruxellois. C’est ainsi que je mets aujourd’hui à profit mon expérience et mon dynamisme pour des matières qui me tiennent particulièrement à cœur, pour un développement territorial qui se préoccupe vraiment des habitants, mais aussi notamment pour les affaires européennes pour lesquelles je serai l’un des députés les plus actifs. Durant cette législature, je serai le 4ème député le plus actif parmi les 89 qui composent l’hémicycle.

En 2024, après 20 ans dans l’opposition, j’ai été élu Député au Parlement bruxellois, une reconnaissance du travail et de l’engagement constants pour défendre les intérêts des citoyens de Bruxelles. À ce poste, je m’attache à promouvoir une vision ambitieuse pour la Région, en mettant l’accent sur des politiques favorisant le bien-être des habitants, le développement durable et la bonne gouvernance.