Suppression des passages à niveau à Bruxelles : enjeux et perspectives

La sécurité des passages à niveau reste une préoccupation majeure pour les Bruxellois, en particulier pour les piétons et cyclistes. Malgré les initiatives prises par Infrabel et les communes pour supprimer ces passages, de nombreux défis persistent, notamment en termes d'intégration dans l'environnement urbain et d'impact sur la mobilité locale. La diminution du nombre de passages à niveau en région bruxelloise ne doit pas occulter les conséquences importantes pour les résidents et usagers des zones concernées. Dans un contexte de densification urbaine et de lutte contre le changement climatique, il est crucial que toute suppression prenne en compte la sécurité, l'accès aux transports alternatifs, la protection des espaces verts et la réduction des trajets motorisés. La concertation avec les communes et Infrabel est également cruciale pour garantir des solutions adéquates et durables.

Les questions posées

Combien de passages à niveau restent à supprimer à Bruxelles et où sont-ils situés ? Quelle est la position de la région concernant leur suppression et leur intégration dans les projets de mobilité ? Quelles mesures sont prises pour améliorer la sécurité des piétons et cyclistes dans les zones concernées ? Comment la concertation avec les communes et Infrabel est-elle assurée ? Des solutions alternatives comme des passerelles ou tunnels sont-elles envisagées ? Quels sont les projets pour renforcer les liaisons cyclables ? Comment réduire le trafic de transit dans les quartiers impactés ? Comment protéger les zones vertes et sites protégés ?

Les réponses apportées

Il reste trois passages à niveau à Bruxelles, dont deux sur la L50 à Berchem-Sainte-Agathe et Ganshoren. Des projets de tunnels sont prévus pour remplacer ces passages. Des réunions sont organisées pour garantir la concertation. Des solutions sont recherchées pour garantir l'accessibilité malgré le trafic. Des pistes cyclables sont créées pour connecter les quartiers et les régions. Des passerelles et tunnels ont été construits pour faciliter la circulation douce. Des permis ont été délivrés pour préserver les sites protégés lors des suppressions de passages à niveau.

Conclusion

Les réponses apportées montrent une volonté d'améliorer la sécurité et la mobilité à Bruxelles. La prise en compte des enjeux environnementaux et la concertation avec les acteurs locaux sont des éléments clés pour la réussite des projets de suppression des passages à niveau. Il est essentiel de continuer à travailler en ce sens pour garantir une mobilité durable et sûre pour tous les usagers de la ville.